Dimanche 2 : 8e de l’année « C » – CHAQUE ARBRE SE RECONNAIT A SON FRUIT
Chaque arbre se reconnaît à son fruit. Là-dessus, Jésus est d’accord avec le sage Ben Sirac. Nos jugements nous jugent. S’ils se fondent sur la seule observance de la loi, ils vont à la mort, mais Jésus a vaincu la mort, dit saint Paul. Pour changer notre regard, il faut d’abord changer notre cœur.
Dimanche 9 : 1er de Carême, année « C » – A LA SUITE DE JESUS
Se laisser réconcilier par Dieu, prier, partager, jeûner dans le secret : tel a été l’appel du mercredi des Cendres. Aujourd’hui, il nous faut entrer dans l’exode d’Israël en marche vers la terre promise. Y entrer en suivant Jésus « au désert », et avec la force de la Parole qui l’a rendu capable de vaincre l’adversaire : étape décisive vers sa Pâque.
Dimanche 16 : 2e de Carême, année « C » – LA LUMIERE DU CHRIST
Visage du beau Christ, visage humilié du Serviteur qui n’a plus figure humaine. Ne voir que « Jésus, seul », c’est le voir dans sa beauté et le voir dans sa douleur. D’une certaine façon, le secret que le Seigneur impose à ses disciples n’est pas entièrement levé : l’espérance de la Résurrection n’est-elle pas d’abord victoire secrète de la foi ?
Dimanche 23 : 3e de Carême, année « C » – APPELÉ A LA CONFIANCE
Moïse a vu le buisson ardent et entendu la voix de Dieu, mais son ministère s’opère dans la douleur. Et Jésus reconnaît ne pas réussir : le figuier ne porte toujours pas de fruit. Mais, pareil au vigneron de la parabole, le Seigneur ne se décourage pas. Il est rempli d’une ressource inépuisable de confiance. Son amour brûle sans se consumer.
Dimanche 30 : 4e de Carême, année « C » – LE PERE MISERICORDIEUX
L’exode d’Israël prend fin. La fidélité de Dieu ne lui a jamais manqué et ne lui manquera jamais. Elle est miséricorde et elle nous concerne : « Laissez-vous réconcilier avec Dieu », insiste Paul. Et la grande parabole de l’enfant prodigue nous met face à ce Père prodigue de sa miséricorde autant pour l’enfant perdu et retrouvé que pour le fils aîné.